C’est l’été, mais je ne vous oublie pas !
J’espère que les vacances se passent bien. De mon côté, je fais feu de tout bois ! Je voulais vous préparer une petite surprise pour cet été… Mais la surprise n’est pas si petite et me prendra un peu plus de temps que prévu ! Et puis j’avance aussi dans l’écriture du tome 2. Et ça c’est…
C’est curieux d’écrire. C’est difficile d’écrire. La difficulté, qui est la mienne et qui est certainement différente pour quelqu’un d’autre, c’est de « mettre en mot ». Je veux dire l’histoire qui est dans la tête et qui est relativement claire, tout au moins dans les grandes lignes. Elle a muri, elle est l’agglomération de sensations, de réflexions, d’intuitions. Et cela coagule et précipite (dans le sens chimique) sous forme d’une envie, d’un besoin de l’écrire. Le « scénario » n’évolue donc pas beaucoup pendant la rédaction. Mais la rédaction, rendre compte de l’ensemble des « mouvements », des tensions, de l’état d’esprit des différents personnages et de leurs évolutions, pour que ce soit compréhensible, c’est compliqué ! Surtout que je déteste les incohérences.
Donc, en fait, je suis guidé par une ligne logique précise sur laquelle s’enroule des émotions. Ce que je veux dire, c’est que quand j’écris, je doute ! Je doute d’exprimer correctement ce que je veux transmettre ; je doute que ce soit intéressant, que ce soit bon… en tout cas suffisant pour donner envie d’être lu !
Alors je lis et je cherche parfois à comprendre comment les auteurs célèbres ont écrit leurs bestsellers. Christelle Dabos, Pierre Bottero, J.K. Rowling, J.R.R. Tolkien, Clifford Simak ou encore Franck Herbert…
Voilà une belle série d’articles à venir !
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