Né en 1970, dans une vie antérieure, j’ai été docteur en neurosciences. J’ai alors travaillé sur les prémices de l’intelligence artificielle à Paris puis sur le sommeil à Genève. Et je suis parti… Pour revenir m’installer à Saint-Malo, la ville de mon enfance.

Aujourd’hui, vingt ans plus tard, j’ai quitté la science mais pas la recherche. J’ai poursuivi ma quête notamment en devenant un lecteur assidu de C.G. Jung, par l’étude des rêves et en participant aux ateliers de Trance Cognitive Auto Induite de Corine Sombrun. En fait, c’est la définition de la « nature humaine » et la frontière entre le conscient et l’inconscient qui m’ont toujours interrogé.

L’autre fil qui ne m’a jamais quitté, qui m’a toujours entortillé, est celui de l’envie d’écrire. J’ai écrit plusieurs histoires, plusieurs romans, sans les publier. Je reconnais aujourd’hui que c’est ce qui me motive le plus, dans le sens premier du terme, c’est à dire « qui me met en mouvement ».